1. Communiquer l’essentiel

Les problèmes les plus difficiles sont aussi, souvent, les plus importants. Comment pourrait-on reconnaître leur sens profond?  Comment accéder aux mathématiques les plus fondamentales de l’Univers, qui sont sans doute également les plus abstraites, les plus profondes et jusqu’à présent les plus cachées au commun des mortels, mis à part, bien sûr, quelques spécialistes.

Je me suis dit que, s’il y avait quelque chose d’essentiel à savoir en mathématiques ou dans les sciences en général, il faudrait bien que je le sache. Il faudrait même que tous le sachent. Sommes-nous assez avancés pour le savoir? C’est peut-être l’idée du petit enfant qui nous montrera encore ici le chemin.

Remarque 1 : Le mot essentiel signifie d’abord ici l’indispensable ou ce qui est de la plus haute importance.

Note de l’auteur : Un paradoxe de taille se présente dès le départ d’un texte si important par son objet. J’avoue que je me heurte apparemment à des difficultés assez semblables à celles d’Eugen P. Wigner (prix Nobel de physique, 1963) dont la célèbre phrase sur la « déraisonnable efficacité des mathématiques dans les sciences naturelles » est encore fréquemment citée. « Déraisonnable » est-il le mot qui convient pour qualifier le contenu de cet article sur la communication scientifique ? J’avoue avoir pensé aussi à des mots tels que « extravagant », « excentrique » ou même « fantasmagorique ». J’opterais finalement plutôt pour « fantastique » en me souvenant de cette non moins célèbre phrase de Teilhard de Chardin, « Seul le fantastique a des chances d’être vrai ». (L’Apparition de l’homme, 1956)

Comment comprendre et faire comprendre l’essentiel?

Il existe plusieurs catégories cognitives de base, c’est-à-dire ce genre de choses indispensables qu’on n’a encore jamais bien comprises. Commençons donc par ce tableau.

Catégories cognitives Exemples
Le présent effectif Le bébé est en train de jouer.
Le potentiel effectif Le bébé mangera bientôt.
Le potentiel réel non encore effectif et qui ne le sera peut-être jamais. D’après son milieu familial, le bébé semble avoir un talent pour la musique et pour les mathématiques.

Tableau sur certaines catégories cognitives indirectement observables chez l’enfant dans son court terme – CT

Les mêmes catégories cognitives de base se présentent ainsi dans le cas de l’humanité globale.

Catégories cognitives Exemples
Le présent effectif La recherche en mathématique pure se poursuit de plus belle de nos jours, au XXIe siècle.
Le potentiel effectif Les recherches en physique quantique devraient se poursuivre un bout de temps, dans l’avenir.
Le potentiel réel non encore effectif et qui ne le sera peut-être jamais L’humain semble capable d’innover encore de belle façon dans la recherche mathématique au cours des prochains siècles, mais, en fait, nous n’en savons encore rien.

Tableau sur les catégories cognitives de l’humanité dans son long terme – LT

L’enfant apprend qu’il ne peut pas faire tout ce qu’il voit faire par les autres. Avec le langage, il comprendra pourquoi. Par correspondance, l’humanité sera conduite par le Modèle de l’enfant à comprendre quand et comment elle pourra réaliser tel ou tel idéal sur le plan social, environnemental ou technologique. La recherche future comprendra l’importance d’un développement <normal>. Les ficelages d’idées permettront de se rassurer ou non quant à l’avenir des technologies, incluant l’intelligence artificielle (dont les idées sont ficelables avec celles du développement du <cervelet> en particulier ou d’autres parties du système nerveux autonome de l’enfant).

Remarque 1 : On appelle ficelage d’idées le résultat d’une recherche idéométrique concernant deux colonnes successives d’un idéotableau, l’une d’elles inspirant de nouvelles idées dans l’autre, en une sorte de va-et-vient entre les deux colonnes.

Note de l’auteur : Ce qui me semble probable, par exemple, est que la recherche idéomathématique se poursuivra encore pendant des siècles. L’humanité apprendra à reconnaître les autres formes d’intelligences « extraterrestres » (autres déités dans le super-espace communiquant au moyen de l’inspiration et de la publication de la recherche). Cf. C. Ficelage et câblage d’idées.

Remarque 2 : La recherche de type « SETI » (Search for Extra-Terrestrial Intelligence) du futur ira de pair avec les recherches en idéomathématiques, où la « SETI » sera repensée entièrement sur une base de ficelages impliquant l’enfant et ses rapports aux autres personnes. Cf. Y a-t-il quelqu’un là-haut ? Une réponse originale…

On résume ici certains des principaux ficelages d’idées à venir.

Exemples de développements à venir dans les technologies et, en particulier, en intelligence artificielle (IA) :

N.B. : L’énumération qui suit concerne des développements expliqués dans d’autres articles d’idéométrie (cf. Agorathèque), en particulier La conscience globale de l’humanité 1. Phénomènes idéométriques.

1) Applications importantes en sociopolitique :

Enfant (de 12 mois et plus) Humanité des prochains siècles
Développement normal de son équilibre corporel et mental Réalisations de programmes sociopolitiques ambitieux mais <normaux>

2) Applications en technologie :

Enfant (de 12 mois et plus) Humanité des prochains siècles
Développement cérébral sensorimoteur, en partie du cervelet Développement technologique, en partie en IA

3) Développement d’applications en biologie quantique :

Enfant (de 12 mois et plus) Humanité des prochains siècles
Développement du goût de l’enfant Applications en biologie quantique

N.B. : Le sens du goûter idéocorrespond aux statistiques en théorie quantique (cf. II. Le goût et les statistiques)

4) Applications dans les domaines des arts et lettres, et en particulier de la photographie et du cinéma :

Enfant (de 12 mois et plus) Humanité des prochains siècles
Plusieurs états de conscience, en particulier les rêves Production abondante en arts et lettres, particulièrement en cinéma, ou dans d’autres fictions

5) Développements dans les recherches en idéothéologie :

Enfant (de 12 mois et plus) Humanité des prochains siècles
Développement de nouveaux rapports normaux et profitables avec les autres qu’il découvre progressivement Projets en commun avec d’autres déités que celles que l’humanité a connues jusque-là

6) Développements importants sur les relations avec des « extraterrestres » en un sens généralisé :

Enfant (de 12 mois et plus) Humanité des prochains siècles
Développements du langage et de l’échange avec les autres, avec qui il apprend à communiquer Recherche en idéomathématique et des communications de type « SETI » fondamentale

Remarque : Le type de communication de la « SETI fondamentale » représente l’idée actuelle de la SETI (depuis le projet de Francis Drake mais basé sur d’autres façons de communiquer que celles d’émissions radio).

7) Développements importants en éthique :

Enfant (de 12 mois et plus) Humanité des prochains siècles
Apprentissage du respect des autres <Apprentissage du respect> des autres déités

Idéotableaux : L’<essentiel> pour l’<enfant>

Le rôle de l’inspiration

La Bible judéo-chrétienne est le résultat d’un choix parmi de nombreux textes. Les œuvres qui ont été retenues par les sélectionnants (ceux qui ont contribué aux choix du canon biblique) sont de genres très divers ; elles dataient déjà souvent de plusieurs siècles.

L’inspiration des lecteurs et, en particulier, des lecteurs sélectionnants des textes canoniques, aurait joué un rôle décisif dans la transmission séculaire des textes les plus essentiels, non seulement dans les religions, mais aussi dans les sciences.

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Rappel sur l’inspiration et sur le sens du développement :

Être humain Être humain
Cérébralité (interactions entre les neurones) Référentialité (interactions entre les auteurs et les lecteurs)
Entrée : dendrites; sortie : axone Entrée : inspiration; sortie : publication

Exemple d’idéotableau: L’idéomorphie de l’<entrée / sortie>

La cérébralité, dans la colonne de gauche, désigne l’ensemble des rapports interneuronaux dans le cerveau d’un humain, alors que la référentialité, dans la colonne de droite, désigne l’ensemble des rapports inter-individuels entre les sources auxquelles on se réfère et ceux qui s’y réfèrent.

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Dans chaque groupe de croyants, on parle de certains textes comme de « livres inspirés ». L’inspiration d’un texte est souvent supposée infaillible mot pour mot, lettre pour lettre, elle semble parfaite et, en effet, tous les détails du texte sont susceptibles d’inspirer le lecteur pour ses choix de lectures et l’intérêt qu’il y prend. Ils attribuent leurs sources d’inspiration normale de nouvelles idées à une sorte d’esprit divin qui leur envoie ses paroles. Dans le cas des chercheurs, leurs inspirations sont attribuées à leurs lectures et à leurs échanges avec d’autres.

Il semble que l’une des intentions des sélectionnants du canon de l’Ancien Testament, en particulier, ait été de réunir un ensemble de tous les genres de livres connus, en somme de constituer ce que nous appellerions une bonne bibliothèque de toutes les œuvres les plus essentielles.

La Grande Bible

La Grande Bible sera définie ici, comme l’ensemble de toutes les œuvres qui servent de référence à un moment donné de l’histoire. La Grande Bible d’aujourd’hui inclut un corpus grec antique et un corpus judéo-chrétien, en plus de quantité d’autres œuvres très diverses, notamment celles qui sont issues de textes, en particulier, dans ceux de la recherche scientifique ou philosophique.

Remarque : L’expression de Grande Bible est un quasi-synonyme de celle du Gea, le Grand ensemble autoréférentiel. La différence est qu’elle inclut plus particulièrement la référentialité des textes de référence principaux en ce qui concerne les religions, alors que le Gea met l’accent sur ceux de la recherche en général. Cf. Le Dieu imparfait. Essai de philosophie pour notre temps (Yvon Provençal, Québec, Presses Inter Universitaires, 2006).

La Grande Bible, d’une certaine façon, c’est la même chose que la Bible. De nos jours, même si elle en diffère immensément par le contenu, elle n’est pas autre chose qu’elle, soit un ensemble qui correspond au « savoir » ou à la « sagesse » d’une époque de l’histoire humaine. En outre, les éléments de crainte et de fascination (tremendum et fascinans) s’y retrouvent à leur plus haut niveau littéraire, dans les tragédies, les romans noirs, les romans d’amour, etc. Un immense potentiel humain de création s’y déploie et continue de s’y déployer.

On établit une sorte de « canon » qui inclut les écrits des sciences, les textes des grands philosophes et des autres grands auteurs, plus un ensemble de textes d’information ou culturellement importants, qui inclut la Bible judéo-chrétienne et plusieurs autres canons religieux, les textes littéraires populaires et des littératures correspondant à divers intérêts nationaux. Depuis peu, les sites de l’Internet, les « moteurs de recherche » plus ou moins spécialisés sont offerts aux référants, qui sont de plus en plus nombreux et coïncideront, dans un avenir prévisible, avec la quasi-totalité des êtres humains existant sur la planète.

  1. b) Autorité et mémoire

Le phénomène de la référentialité suppose un ensemble d’institutions spécialisées dans la préservation et la transmission des textes. Les scientifiques et les philosophes se réfèrent aussi à des textes qui jouent un rôle similaire à celui de textes probants. Il s’agit des références qui sont reconnues comme autorisées et sérieuses. Dans ce cas, toutefois, on est en mesure de justifier ces références autrement qu’en invoquant leur caractère sacré. Toutefois ces textes demeurent des sources valables pour des idées nouvelles.

La mémoire

La mémoire est une fonction des plus complexes. Elle comporte en particulier les trois composantes de l’encodage (mémoriser), du stockage (conserver en mémoire) et de la récupération (se rappeler). Le souvenir y apparaît comme un rappel de, dans et pour la mémoire.

Enfant (de 12 mois) Humanité actuelle
Mémoriser Encoder
Conserver en mémoire Stocker
Se rappeler Récupérer

Idéotableau sur la <mémoire>

Rappel : La colonne de gauche concerne la mémoire dans le court terme (CT) de l’enfant, alors que la colonne de droite concerne une mémoire collective considérée dans le long terme (LT).

Remarque : Le charisme référentiel d’un texte est ce qui en lui le fait lire et relire, et qui donne à s’y référer, à le réciter et à le promouvoir, à le publier et, parfois, à le sanctifier et à le « canoniser ». Un charisme idéo-correspondant peut être trouvé dans la cérébralité de l’enfant, qui apparaît dans ses préférences pour certains jouets ou certains jeux, ou encore dans ses rapports avec les autres personnes.

  1. c) Un pivot pour le sens

L’enfant de 12 mois environ représente le pivot cognitif de son développement. Il passe de la simple compréhension passive du langage à son acquisition active en y prenant une part souvent impressionnante.

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Rappel :  L’attitude passive et l’attitude active 

La permanence de l’objet : plus précoce qu’on ne le croyait : « Jean Piaget avait observé que jusqu’à l’âge d’un an les bébés font une erreur, dite « A-non-B », dans un dispositif de recherche d’objets disparus. L’objet est d’abord caché derrière un écran A, le bébé y trouve d’abord l’objet assez facilement, puis il est caché, sous les yeux du bébé, derrière un écran B. De huit à douze mois, le bébé continue d’aller chercher l’objet derrière A, commettant ainsi l’erreur A-non-B (J. Piaget). Jean Piaget croyait que cette erreur signifiait une absence de permanence de l’objet. Or les travaux de sciences cognitives, après Piaget, ont montré que la permanence de l’objet est généralement plus précoce (à quatre-cinq mois). Pour comprendre ce paradoxe, il a été démontré que l’erreur A-non-B tient au défaut d’inhibition motrice du geste préprogrammé vers A (l’habitude motrice, l’automatisme), en raison de la maturation encore insuffisante du cortex préfrontal. À un an, cette erreur est corrigée » (Encyclopaedia Universalis, « Développement des fonctions exécutives », Olivier Houdé, en ligne février 2021). C’est d’ailleurs à l’âge de quatre ou cinq mois que l’enfant commence à comprendre le sens de certains mots, sans être en mesure encore de les énoncer lui-même. À l’âge d’un an, toutefois, il devient en mesure de communiquer par lui-même avec les autres.

Idéomorphie Enfant (de 4 à 12 mois) Humanité (avant la mise en application de l’idéométrie
<Potentiel réel> Permanence de l’objet Potentiel réel des objets d’étude
<Compréhension passive> : Les suppositions habituelles mais sans fondements sont traitées comme vraies. Compréhension passive de l’objet caché : L’enfant recherche encore derrière le premier écran l’objet pourtant déplacé sous ses yeux derrière le second écran. Épistémologie moderne passive devant les objets d’études : Les théories sont considérées à tort comme exactes (IP, Interprétation pythagoricienne).
<Compréhension active>: Les suppositions habituelles sont traitées comme probablement fausses ou mal formulées. Compréhension active (chez l’enfant de 12 mois) : L’enfant cesse de chercher l’objet derrière le premier écran. Épistémologie active idéométrique : Les théories de base sont considérées comme utiles bien que fausses jusqu’à preuve du contraire (INP, Interprétation non pythagoricienne).

Idéotableau : La <permanence de l’objet> ou <potentiel réel>

selon les modes passif / actif

Remarque : L’IP renvoie à l’interprétation pythagoricienne et l’INP à l’interprétation non pythagoricienne (cf. L’interprétation non pythagoricienne des lois physiques)

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Comme chez l’enfant, il ressort de cet idéotableau que la science actuelle peut être vue comme un pivot, cette fois, pour la recherche scientifique dans son histoire.

La mise en rapport de l’embryo-psychologie, l’e-psy, et de l’embryo-histoire, l’e-hist apparaît dans le tableau suivant de façon à représenter idéométriquement le <pivot>.

Du pivot cognitif chez l’enfant (à gauche) au pivot scientifique (à droite) :

Enfant Humanité
E-psy : Avant l’acquisition du langage E-hist : Avant l’établissement de l’idéométrie
E-psy : Mode passif de la compréhension de l’enfant E-hist : Mode passif de l’explication scientifique
Pivot cognitif () Pivot scientifique ()
E-psy : Après l’acquisition du langage Après l’établissement de l’idéométrie
E-psy : Mode actif de la compréhension de l’enfant E-hist : Mode actif de l’explication scientifique

Idéotableau : L’enfant et l’humanité actuelle en tant que pivots <cognitifs>

Le caractère indispensable de l’enfant en tant que pivot cognitif est en grande partie dans la signification cruciale de l’âge de 12 mois d’après la psychologie de l’enfant. Cet âge de l’enfant correspond à l’humanité actuelle (début XXIe siècle), elle-même faisant figure de pivot scientifique. Ainsi que le montre l’idéotableau ci-dessus, ce qui importe le plus est en soi le pivot cognitif et, en l’occurrence à l’âge approximatif de 12 mois, chiffre qui pourrait bien changer ou se préciser lors de recherches encore à venir en psychologie du développement.

Notre potentiel réel, l’essentiel de ce que nous sommes

L’effectivité et les potentialités réelles soutiennent et dépassent tout ce que nous croyions être vrai ou réel jusqu’à présent.

Enfant (à l’âge du pivot cognitif) Humanité actuelle (au moment du pivot scientifique)
Premiers mots effectivement-CT prononcés [Ce tableau, ici même et à ce moment-LT]
Développement effectif-CT du potentiel réel de l’enfant de 12 mois [Développement effectif-LT du potentiel réel de l’humanité d’aujourd’hui, au XXIe siècle]

Idéotableau <déclarant> l’<effectivité> et le <potentiel réel> de l’humanité actuelle

Le sens 

L’embryo-histoire, de façon cohérente, étudiera l’inspiration et la publication, et leur influence conjointe sur le développement humain global. La nature référentielle du texte en fait un texte essentiel et non son style ou son contenu.

Les contenus des textes sacrés, par exemple, peuvent être à tort inclus dans les argumentations à titre de source qui font autorité. On y puise tout bon argument, lequel suffit alors à fonder la vérité de ce qu’on avance. Toutefois on prouve généralement par le texte.

Les théories actuelles de l’histoire de l’Univers et de l’évolution darwinienne apparaissent donc ici comme des indices pour comprendre la conscience de l’enfant plutôt que comme des faits universels réels en tant que compréhension du temps et de l’espace lointains. Le Modèle de l’enfant suggère une compréhension idéométrique de ce que signifiera l’Univers pour l’humain de demain. Il représentera en quelque sorte un paradoxal retour à la mythologie de la « déité humaine » au sein d’une « famille divine », une mythologie des idées.

Enfant (à l’âge du pivot cognitif) Humanité actuelle (au moment du pivot scientifique)
Impressions d’un passé pré-sensoriel Impressions préréférentielles des origines
Impressions débutantes de l’enfant sur sa famille d’après ses impressions avant l’âge pivot. Mythologies ou panthéons d’après les chercheurs actuels en histoire ou en anthropologie.

Idéocorrespondances sur les <impressions débutantes du monde>

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